Des solos et des duos, portés par la soprano américaine Laura Claycomb et la contralto italienne Sara Mingardo. Bouleversante la douloureuse séquence de syncopes du “Sancta Mater” (“Exauce moi, ô Sainte Mère”), moment de grâce, le “Tui nati vulnerati” (“Pour moi Ton fils, couvert de plaies”), comme en suspension.

CultureBox

(Lorenzo Ciavarini Azzi)